LES MAMMIFERES MARINS


Les mammifères marins comprenant, les baleines, les dauphins, les marsouins et les pinnipèdes. Ils ont tous une circulation à sang chaud, une respiration aérienne et des petits se nourrissant du lait de leurs mères. Ce qui est plus rare en revanche, c'est leur adaptation au milieu marin où ils peuvent se nourrir et se reproduire. Des thèses fantaisistes, s'appuyant sur la taille du cerveau et l'absence de pelage, ont récemment soutenu que les humains étaient très apparentés aux dauphins. Tout le monde sait que l'animal le plus proche de l'homme est le singe. Ce sont les ongulés (animaux munis de sabots tels que les porcins, les cervidés et les hippopotames) qui sont apparentés aux cétacés. Aussi surprenant que cela paraisse, l'étude des os fossilisés et des animaux vivant actuellement tend à accréditer l'idée que les cétacés et ongulés ont en commun un ancêtre terrestre : un petit animal ressemblant à une musaraigne, qui vivait il y a plus de cent millions d'années. Les descendants de cette créature évoluèrent de façon différenciée, certains donnant des prédécesseurs des ongulés, d'autres un groupe de baleines préhistoriques appelées archéocètes. Au fil des âges, ces derniers passèrent de plus en plus de temps autour et dans l'eau des lacs, des cours d'eau et des mers. Progressivement, ils évoluèrent en un certain nombre d'animaux adaptés à une vie marine. La forme de leurs corps se modifia, et ces quadrupèdes prirent une silhouette plus profilée. Des centaines d'espèces apparurent et disparurent au cours de la vie des cétacés; il n'en survécut qu'un petit nombre. Parmi ceux qui s'éteignirent, citons les squalodondiidés, apparus il y a environ trente millions d'années. Leur physionomie se rapprochait assez de celle du dauphin de rivière, et leurs minuscules dents, dont le nombre pouvait aller jusqu'à cent, ressemblaient à celles des requins. Cinq millions d'années plus tard, ces créatures avaient disparu. Aujourd'hui se jouent les derniers épisodes de cette saga de l'évolution. Même si l'âge d'or des baleines est révolu, on dispose d'une fascinante diversité d'espèces qui, pour la plupart, sont aussi étranges que leurs ancêtres.

Les baleines Les belugas Les dauphins
Les marsouins Les lamantins Les dugongs
Les phoques Les lions de mer Les otaries

LE MONDE DES BALEINES, DES DAUPHINS ET DES MARSOUINS

Les spécialistes reconnaissent aujord'hui 81 espèces différentes de cétacés, avec de nos jours encore, la possibilité de découvrir de nouvelles espèces. En 1996, on baptisa une nouvelle espèce sous le nom de " baleine à bec de Bahamonde ", aucun spécimen n'a encore été observé aujoud'hui. Pendant ce temps un certain nombre d'autres espèces de cétacés ont été divisées ces dernières années. En 1995, le dauphin commun a été officiellement séparé en deux espèces distinctes, aujourd'hui connues sous le nom de dauphin commun à long bec et dauphin commun à bec court. Une infinie diversité. Les baleines, les dauphins et les marsouins ont inévitablement de nombreux points communs. Touefois, ils présentent également une impressionnante diversité de formes, de tailles et de couleurs, ayant développé une incroyable variété d'adaptations pour survivre. Certains vivent dans des eaux peu profondes à proximité des côtes, ou dans de grandes riviêres et estuaires, tandis que d'autres vivent si loin des côtes qu'ils ne voient probablement jamais la terre. Certains sont assez communs et répandus, tandis que d'autres sont au bord de l'extinction. Leurs tailles varient entre 1,20 mètre pour les dauphins et marsouins les plus petits, et 30 mètres pour l'énorme baleine bleue.Certaines espèces sont très colorées, avec une grande diversité de taches et de rayures, d'autres ont d'étonnantes marques noires et blanches, tandis que d'autres encore sont relativement ternes, de couleur brune ou grise. Certaines sont longues et élancées, d'autres petites et trapues. Certaines disposent de longues nageoires dorsales falciformes, d'autres ont des nageoires triangulaires plus petites, et quelques-unes en sont dépourvues. Il existe également des différences entre les individus de la même espèce, selon le sexe, l'âge ou l'habitat. Un attrait particulier. Les cétacés suscitent une attirance qui reste difficile à définir. Certains affirment que ceci est dû à leurs intelligence; d'autres sont frappés que des mammifères comme nous, qui soient capables de se développer dans un monde aquatique si étranger. D'aucuns sont pleins d'admiration pour leurs capacités à explorer des endroits hors de notre portée. Enfin, certains les voient comme nous aimerions nous voir nous-mêmes, à savoir libres, gracieux, compatissants, pacifiques et pleins d'énergie. Indubitablement, le mystère qui les entoure est lui-même une part importante de leur attrait. Nous savons aujourd'hui que nombre de nos premières hypothèses les concernant étaient fausses, ou du moins pas tout à fais exactes.. Toutefois, plus nous en apprenons sur ces incroyables créatures, plus leur histoire devient intrigante.

EST-CE UNE BALEINE, UN DAUPHIN OU UN MARSOUIN ?

Les noms communs utilisés pour les animaux peuvent parfois être trompeurs. Baleines, dauphins et marsouins entrent cependant dans une catégorie qui leur est propre. Les termes "Baleine", "dauphin" et "marsouin" sont trompeurs. Ils n'ont pas de véritables fondement scientifique et sont sources de nombreuses confusions. En théorie, les baleines sont les cétacés les plus grands, les dauphins représentent la taille moyenne, et les marsouins sont les plus petits. Toutefois cette règle n'est pas toujours viable: certaines baleines sont plus petites que les grands des dauphins, et certains dauphins sont plus petits que les plus grands marsouins. Il existe notamment six "baleines" qui devraient en réalité être dénommées "dauphins". en dépit de leur nom, la baleine tueuse, le globicéphale tropicale, le globicéphale noir, la fausse baleine tueuse, la péponocéphale et l'orque naine sont tous des membres de la famille des dauphins, les delphinidés. Il serait peut-être plus judicieux de dénommer la baleine tueuse "dauphin tueur" si la plupart des spécialistes ne préféraient employer le terme d'orque. Pour ajouter à la confusion, ces six espèces sont souvent regroupées sous le terme de "poissons noirs", ce qui est particulièrement étonnant car ils ne sont pas tous noirs, et, bien entendu, ce ne sont pas des poissons. Ironie du sort, il existe même un "poisson dauphin" qui est en fait un poisson marin à chair blanche. D'autres espèces ont également des noms trompeurs, mais pour des raisons différentes. Les lagénorhynques à bec blanc n'ont pas tous un rostre blanc. L'orcelle de l'Irrawaddy vit dans le fleuve du même nom, mais également dans le Brahmapoutre, le Gange, le Mékong et le Makadam, ainsi que dans les eaux côtières d'Asie du Sud-Est. De même, les dauphins à bosse de l'Indo-Pacifique qui vivent à l'est et au sud de Sumatra, en Indonésie, n'ont pas de bosse. En outre, nombre de cétacés sont connus sous d'innombrables noms communs dans au moins autant de langues. Ainsi, les termes de grand dauphin, souffleur, dauphin à gros nez et dauphin tronqué font tous référence à la même espèce. De même, le petit rorqual est également connu sous le nom de rorqual à museau pointu, gibord et jubarque.

La classification des cétacés. Pour éviter toute confusion, la solution consiste à classer les cétacés en deux groupes distincts :

La grande majorité des cétacés appartient au groupe des odontocètes. Il existe au total 70 espèces, dont les dauphins de mer et d'eau douce, les marsouins, les baleines à bec et les cachalots, ainsi que le narval et le béluga. Le nombre, la taille et la forme des dents varient énormément. Le dauphin à long bec, par exemple, est celui qui a le plus de dents. Leur nombre exact varie entre 172 et 252. A l'extrême inverse, plusieurs espèces n'ont que deux dents qui, chez de nombreuses femelles, ne sortent pas (ainsi elles semblent en être dépourvues). en général les odontocètes se nourrissent de poisson et de calmar, toutefois certains d'entre eux capturent des crustacés, et quelques-uns des mammifères marins.

Le groupe des mysticètes comprend les 11 espèces restantes et compense ce nombre réduit en incluant une grande partie des baleines les plus grandes et les plus populaires, telles que la baleine bleue, la baleine grise, le mégaptère et la baleine franche boréale. A la place des dents, elles disposent de centaines de fanons en forme de peignes fixés à la mâchoire supérieure. Trés serrés à l'intérieur de la bouche de la baleine, ceux-ci disposent de petits poils qui forment une structure en forme de passoire permettant de filtrer la nourriture. Les mysticètes se nourrissent principalement de petits bancs de poissons ou de crustacés, tels que le krill et les copépodes.

Il existe d'autres différences plus subtiles entre les odontocètes et les mysticètes. Les cétacés à dents par exemple, sont reconnaissables par leur évent unique, tandis que les cétacés à fanons en ont situés côte à côte.

LES CETACES ONT DE NOMBREUX POINTS COMMUNS AVEC LES POISSONS.

Différences par rapport aux autres mammifères La forme du corps des cétacés est dépourvue des parties saillantes observées chez la plupart des mammifères. En général, les mammifères disposent de narines faciales, mais les évents équivalents chez les baleines sont situés sur le haut de la tête. Plus loin, des ouvertures sur les côtès du crâne indiquent la position des oreilles, mais il n'existe pas de pavillon externe. La plupart des cétacés disposent d'un cou court et peu flexible, et les mouvements de la tête sont limités. Leurs membres antérieurs sont semblables à des ailerons, sans coude ni doigts visibles, et pourtant ils cachent des éléments osseux résiduels. Les parties génitales sont internes, à l'exception des mâles sexuellement actifs, et il n'y pas de scotum. L'aileron dorsal et les lobes caudaux sont probablement les caractéristiques qui évoquent le plus les poissons. Vraisemblablement, l'aileron dorsal est un élément hydronynamique utilisé pour la nage. Toutefois, chez certains cétacés, il est petit, et même absent chez quelques-uns. On ne sait pas vraiment dans quelle mesure cette différence influe sur la capacité à nager. Les lobes caudaux horizontaux sont présents à l'extrémité de la queue. Ils sont fixés au milieu par la ernière vertèbre caudale, et sont constitués de tissus fibreux solides.

Les similitudes entre cétacés et mammifères la plupart des mammifères sont des animaux terrestres avec un métabolisme complexe et une température corporelle constante. La forme du corps correspond à ces fonctions basiques. L'inspiration d'air est vitale; le nez est bien développé, et la respiration par les poumons est facilitée par un diaphragme et des côtes thoraciques. Un coeur à quatre compartiments pompe le sang dans les poumons et le corps. Les parties gènitales et l'anus sont séparés. Les mammifères portent le foetus dans l'utérus et allaitent leurs petits. . . autant de caractéristiques que partagent les cétacés. D'autres attributs plus subtils sont également importants. Par exemple, l'oreille contient trois petits os, la mâchoire inférieure est constituée d'un os unique et les vertèbres dans la colonne vertébrale sont séparés en différentes régions du haut en bas. Sur ce dernier point, on peut constater que les cétacés ont hérité des mouvements de nage basique de lointains ancêtres terrestres. Les mammifères terrestres qui se déplacent rapidement ondulent en effet le corps de haut en bas, contrairement aux mouvements latéraux des reptiles et des amphibiens. Les cétacés ondulent eux-aussi leur colonne vertébrale verticalement, bien qu'ils n'utilisent pas de membres antérieurs et postérieurs pour se déplacer. Les puissants muscles situés de part et d'autre de la colonne vertébrale soulèvent les tendons qui, par le biais d'un pédoncule étroit, actionnent les lobes caudaux. En général, les muscles propulseurs, les tendons et les vertèbres entrainent le battement des lobes caudaux de bas en haut, provoquant ainsi une poussée. La taille et la répartition des muscles destinés à la nage varient selon les espèces de cétacés, ainsi que la forme des lobes caudaux. De même, toutes les espèces ne sont pas toutes aussi rapides et souples dans leurs déplacements. Le marsouin de Dall, par exemple, est un odontocète océanique remarquablement rapide, tandis que certains dauphins d'eau douce, tels que le dauphin de l'Amazone, sont lents mais trés souples.

Les autres mammifères Marins Les contraintes de la vie aquatique ont été résolues de différentes façons par les deux autres groupes de mammifères maris : les pinnipèdes (morses, lions de mer et phoques) et les siréniens (lamantins et dugong). Tous les pinnipèdes sont de puissants nageurs, et sont remarquablement adaptész à la vie en mer, mais il sont contraints de se rendre sur le rivage (ou, dans certains cas, sur la glace) pour muer, se reposer et se reproduire, ce qui les distingue des cétacés et des siréniens. Les pinnipèdes se particularisent par leurs quatre membres palmés, munis de griffes à l'extrémité de tous les doigts et (dans la plupart des cas) par leur épaisse fourrure. Les otaries à fourrure et les lions de mer peuvent utiliser tous leurs membres pour marcher sur terre (chez les phoques, les membres postérieurs ont été considérablement modifiés pour la nage, et ne peuvent supporter le poids du corps). Contrairement aux cétacés, les phoques ont un système social clairement adapté pour la terre : l'odorat, la posture du corps, la taille (dimorphisme sexuel) et le développement de poils (comme la "crinière" chez certaines otaries et lions de mer) jouent un rôle comportemental. Les siréniens, quant à eux, sont totalement aquatiques. Ils sont également dépourvus de membres postérieurs et disposent de lobes caudaux. Mais ils se distinguent des cétacés par la forme de leur corps et leurs modes de vie. Ces herbivores qui se déplacent lentement dans les eaux peu profondes se nourrissent d'herbes marines et vivent uniquement dans les eaux chaudes.

Les membres antérieurs d'une orque se sont transformés en nageoires pectorales. Les poils sur la mâchoire d'un baleineau gris, sont les seuls poils du corps. L'ouverture sur la tête du grand dauphin, est un vestige d'oreille.

L'INTELLIGENCE DES CETACES

De nombreux cétacés disposent d'un cerveau relativement grand et complexe, mais est-ce que cela fait d'eux des êtres "intelligents" ?

Même chez les humains, "l'intelligence" est un terme ambigu. Il peut signifier beaucoup de choses. La capacité à apprendre, à analyser en ayant recours à la raison et au jugement, à réfléchir rapidement, et à comprendre. Mais comment pouvons-nous prétendre déterminer l'intelligence chez les animaux ?

Le quotient intellectuel. L'intelligence humaine est liée au contexte. Cependant l'évaluation de l'intelligence humaine (les tests de QI) est standardisée afin de permettre une comparaison des résultats plus aisée, et, comble de l'ironie, la standardisation entraîne la disparition du contexte. Au-delà des tests du comportement, les éléments structurels du système nerveux sont utilisés pour mesurer l'intelligence entre les espèces. De nombreuses études sur les mammifères se sont intéressées aux hémisphères cérébraux. Les plus grandes parties du cerveau. Dans ces lobes, une couche externe bien développée (le cortex) semble indiquer une intelligence supérieure. Une autre unité de mesure, le "coefficient de céphalisation", à savoir le rapport entre la taille du cerveau et celle du corps, semble également liée à l'intelligence. Les espèces disposant d'un cerveau de taille imposante par rapport à leur corps semblent plus favorisées. Les anecdotes concernant l'intelligence des étacés sont nombreuses, notamment la croyance en une communication inter-espèces entre l'homme et le dauphin, et même une perception extra-sensorielle. Sommes-nous capables d'aller au-delà de ce niveau anecdotique dans notre connaissance de l'intelligence des cétacés , Les cétologues sérieux doivent aller plus loin. En général, les cétacés disposent d'un cerveau de grande taille par rapport à leur corps (en comparaison avec les autres mammifères) et de ce fait le "coefficient de céphalisation" est élevé. Cette taille indique qu'ils ont besoin de traiter des information liées à la complexité de l'audition, de la communication et de la motrocité. Toutefois, cette taille relative du cerveau n'est pas toujours élevée: les petits dauphins d'eau douce et les grands cachalots ont des cerveaux plus petits que ce à quoi on pourrait s'attendre. Les tests de comportement ont été trés utilisés chez les cétacés, mais du fait que les cétacés ne sont pas manipulateurs, et ne modifient pas leur environnement comme le font la plupart des mammifères, la signification de ces tests reste floue.

Un globicéphale tropical adulte, et d'autres membres du groupe veillent de près un jeune mort Une orque joue avec un jeune lion de mer. Il arrive souvent que des petits soient assommés ou tués de le sorte. Une action de coopération. Les grands dauphins dirigent les poissons vers les rives des fleuves

La faculté d'apprendre. Les odontocètes en captivité apprennent à réagir à différents gestes ou sons humains, modifiant leur comportement selon des changements subtils dans les ordres donnés. Il semble que l'information apprise soit transmise d'un animal à un autre. Mais aucun langage de type humain, avec ses implications en matière d'intelligence, n'a été clairement identifié.

La résolution de problèmes. L'activité des cétacés dans la nature prouve de nombreuses espèces ont recours à des comportements trés complexes pour résoudre des problèmes. La coopération pour s'alimenter au moyen de filets de bulles chez les mégaptères et la capture sur la plage de phoques par des orques sont des exemples d'un contrôle et d'une coordination physique complexes. Les cétacés sauvages font preuve d'un comportement protecteur qui peut se traduire par le soutien d'un jeune ou d'un animal malade. Certaines espèces adoptent des techniques de défense de groupe. Si ces comportements sont acquis, ils indiquent un degré èlevé d'intelligence, mais s'ils sont génétiques (instinctifs), ils ne constituent pas forcément des éléments de poids.

Comparaison entre les cétacés et les autres animaux. Les coefficients de céphalisaion sont élevés pour la plupart des cétacés. Toutefois, la seule taille du cerveau doit être interprétée avec précaution, car d'autres animaux disposant de petits encéphales peuvent faire preuve de comportements extrêmement complexes. Parmi les mammifères , les chauve-souris ont des cerveaux minuscules, et pourtant elles utilisent un système trés élaboré d'écholocation pour détecter des proies et définir des trajectoires de vols subtiles. Mais il est vrai que les cétacés présentent une particularité: les circonvolutions du cortex dans les hémisphères cérébraux trés élaborés et ressemblant à celles de l'homme. Les parties du cerveau qui traitent les sons sont également bien développées.

L'intelligence des cétacés ressemble-t-elle à celle des humains ?

Que pouvons-nous dire de cerveaux aussi gros et complexes ? Chez les humains, la complexité du cerveau et l'intelligence appararemment liées au langage élaboré et à la manipulation de leur environnement. Les cétacés ne modifient pas leur environnement, d'un point de vie humain, ou, plutôt, comme le font les autres mammifères, et aucun langage de type humain n'a été démontré chez eux. La complexité du cerveau est peut-être liée à la production de sons. Mais, là encore, ne sait pas vraiment pourquoi les cerveaux sont similairement complexes chez les odontocètes et les mysticètes, qui produisent et utilisent différents sortes de sons.

<Cerveau humain , Cerveau d'un grand dauphin>  
Les parasites des cétacés.

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